![]() ![]() Les soupirs de la Sainte et les cris de la Fée. Modulant tour à tour sur la lyre d’Orphée J’ai rêvé dans la Grotte où nage la Sirène…Įt j’ai deux fois vainqueur traversé l’Achéron : Mon front est rouge encor du baiser de la Reine Suis-je Amour ou Phébus ?… Lusignan ou Biron ? La fleur qui plaisait tant à mon coeur désolé,Įt la treille où le Pampre à la Rose s’allie. Rends-moi le Pausilippe et la mer d’Italie, Ma seule Etoile est morte, – et mon luth constelléĭans la nuit du Tombeau, Toi qui m’as consolé, Je suis le Ténébreux, – le Veuf, – l’Inconsolé, ![]() This is a rich and evocative poem, which in many cases prefigures TS Eliot with its use of esoteric images and references Today’s poem is from Gerard de Nerval, the eccentric mid 19th century French poet, who could be seen on the streets of Paris taking his pet lobster for a walk on a leash. ![]()
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